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TOUTES LES RUBRIQUES 2014

 

 

Un temps d'avance sur les évènements 

Logique pour qui connait l'issue de la crise majeure !

 

 

Depuis 2008, la confusion sur les causes de cette situation de crise sans précédent et sur le devenir d'un monde si chaotique est devenue si grande qu'elle habite le quotidien des néophytes. Ces derniers seront d'autant plus décontenancés, déroutés, qu'ils seront d'ici peu confrontés à la soudaineté d'un retournement inattendu de situation. Il est donc fort judicieux pour tout un chacun d'avoir une connaissance précise de ce sujet central.

 

Le système de la finance de l'économie, incluant les gens corrompus et avides de pouvoir, soumettent et contraignent le monde entier avec une grande rapacité, sans aucune pitié. Pour comprendre précisément comment et pourquoi cela s'organise, surtout où cela nous mène, le lecteur de ce site, intelligible pour tous, de son côté, se doit de fournir un effort de concentration par une lecture approfondie.

 

 

 

Table des matières 2014

 

 

Juillet 2014 - Canard au sang, le deuxième temps de la crise - Le plan secret de la Chine - L'iceberg du Bilderberg

 

Juin 2014 - La monnaie mondiale unique -  Le système économique géré par les banques centrales est totalement hors de contrôle

 

Mai 2014 - Le nouveau traité du grand marché Transatlantique, le dictat absolu. Une  fois encore, la Banque centrale européenne se prépare à voler au secours des banques. Qu'est-ce que la déflation ?

 

Avril 2014 - Le plan Hollande de la grande austérité, 2015 - 2017 -  Toutes les économies potentielles cachées ou inavouables - L'URSSAF, un traitement impitoyable pour les artisans et les TPE.

 

Mars 2014 - L'union bancaire européenne, une goutte d'eau dans l'océan - L'Ukraine, un bras de fer perdu d'avance.

 

Février 2014 - La spoliation s'organise à votre insu - braquage à l'européenne - Et la spoliation mondiale organisée depuis 2008 par l'usage massif de la planche à billet.  Pour y voir de plus près, l'abrégé du cycle de la création monétaire aux États-Unis.  La Réserve fédérale, le principal moyen de subversion au plan mondial.

 

Janvier 2014 - L'implosion de toutes les composantes de l'économie réelle.

 

 

 

DATES DES NOUVELLES RUBRIQUES ET D'ACTUALISATION

 

18 juillet - Nouvelle rubrique - Canard au sang, le deuxième temps de la crise.

 

10 juillet - Nouvelle rubrique -  Le plan secret de la Chine.

 

11 juillet - Nouvelle rubrique - Qu'est-ce que la déflation ?

 

01 juillet - Nouvelle rubrique - L'iceberg du bilderberg.

 

29 juin  - Nouvelle rubrique -  La FED soutient secrètement les marchés actions - voir Rubriques 2014 - La FED principal moyen de subversion au plan mondial - février 2014.  Le système économique géré par les banques centrales est totalement hors de contrôle.

 

01 et 29 juin - Nouvelle rubrique - La monnaie mondiale unique.

 

22 mai - Nouvelle rubrique - Une  fois encore, la Banque centrale européenne se prépare à voler au secours des banques.

 

18 mai : reprise de la rubrique : le nouveau traité du grand marché Transatlantique, le dictat absolu.

 

10 mai : Pour y voir de plus près ! - voir "la spoliation s'organise à votre insu",  février 2014.

  

09 mai : Introduction - Toutes les rubriques de la situation mondiale en bref.

  

01 - 06 - 12- 14 mai - Nouvelle rubrique -  Le nouveau Traité du grand marché Transatlantique, le dictat absolu  - Aucun dirigeant des États européens n'a accès à cette négociation. Ce sujet sera écarté des débats à l'élection européenne, le public doit rester dans l'ignorance ! Lobbying Planet.

 

02 mai - Toutes les économies potentielles cachées ou inavouables - L'URSSAF, un traitement impitoyable pour les artisans et les TPE.

 

18 avril - Le plan Hollande de la grande austérité, 2015 - 2017 -  25 avril - Toutes les économies potentielles cachées ou inavouables - L'URSSAF, un traitement impitoyable pour les artisans et les TPE.

  

12 mars, 12 - 17 - 25 - avril, 29 mai - Nouvelle rubrique -  L'Ukraine un bras de fer perdu d'avance.

 

22 mars - Nouvelle rubrique - L'union bancaire européenne - une goutte d'eau dans l'océan.

 

28 février - Nouvelle rubrique -  La Réserve fédérale, le principal moyen de subversion au plan mondial.

 

10 janvier - Nouvelle rubrique -  L'implosion de toutes les composantes de l'économie réelle.

 

 

La part du lecteur

 

Le système de la finance de l'économie, incluant les gens corrompus et avides de pouvoir, soumettent et contraignent le monde entier avec une grande rapacité, sans aucune pitié. Pour comprendre précisément comment et pourquoi cela s'organise, surtout où cela nous mène, le lecteur de ce site, intelligible pour tous, de son côté se doit de fournir un effort de concentration en faisant une lecture approfondie.

 

 

 

 

 

Juillet 2014

 

Canard au sang 

 

Le deuxième temps de la crise majeure

 

 

 

Depuis 2008, début de la crise majeure, de très fortes inégalités économiques et sociales se sont accrues. La moitié des richesses mondiales appartiennent à 1 % de la population.

 

85 personnes les plus riches possèdent autant que la moitié de la population la plus pauvre. En Europe, la fortune de 210 milliards € des 10 individus les plus riches dépasse le coût total des mesures de relance mises en œuvre dans l'Union européenne entre 2008 et 2010. Comment cette minorité de riches nantis pourrait-elle compenser la consommation même défaillante du grand public appauvri ?

 

Même dans les pays les plus égalitaires - Suède, Norvège, la part des 1 % les plus riches a augmenté de plus de 50 %. Sur le moyen terme, depuis les trente dernières années, début de l'assèchement programmé de l’économie réelle, 7 personnes sur 10 subissent l'augmentation de l'inégalité. En France, l'on cache les vrais chiffres de la pauvreté. Sont en cause :

 

1- De manière générale - L'absence de redistribution équitable de richesses produites par la collectivité - produit intérieur brut - PIB.

 

2- L'évasion fiscale, la dérèglementation financière de système fiscaux biaisés - source Oxfam. Autant de richesses non redistribuables au plus grand nombre. à minima, 20.000 milliards € - 10 fois le PIB de la France.

 

3- La corruption, notamment celle des hommes politiques, qui pèse chaque année 120 milliards € en Europe ( 70 % du budget français de la santé) et qui sape la confiance du grand public envers les institutions démocratiques.

 

4- Les recettes issues du pétrole et de l'extraction minière qui échappent aux budgets des États. Selon la Banque mondiale, l'escamotage se monte à 18.000 milliards $ l'équivalent du PIB  des USA - source Oxfam.

 

5- L'hyper endettement des États, la création monétaire qui lui correspond et l'impossibilité pour les États en situation de faillite de rembourser la masse colossale de dettes - article.

 

6- L'hyper endettement des consommateurs - étude représentative de l'ensemble des pays occidentaux.

 

7- La montée en flèche des profits des transactions boursières qui battent chaque jour de nouveaux records et qui assèchent l'économie de terrain la privant des liquidités nécessaires à son fonctionnement et développement. Total des opérations financières mondiales 2.200.000 milliards $ en 2008, dont 95 % correspond uniquement à des opérations de spéculation. À rapprocher du PIB mondial de 73.800 milliards $ en 2013.

 

8- La chute des investissements de la part des chefs d'entreprises et des opérateurs financiers, lesquels se sont focalisés sur les prises de bénéfice ultra rapides offertes par les places financières, sur la fusion acquisition et le rachat de leurs propres actions en bourse.

 

9- Les augmentations disproportionnées du profit des entreprises - multinationales - les plus riches - et le niveau exorbitant du salaire et bonus des dirigeants.

 

10- La hausse abusive des prix de l'immobilier partout dans le monde, en France + 110 % depuis 1998. La hausse incessante des loyers dans la plupart des grandes villes pour ceux qui n'ont pas les moyens d'accéder à la propriété.

 

11- La surtaxation des ménages et des petites entreprises - RSI - Comment s'en affranchir - voir rubrique les entreprises. Poids insupportable de l'impôt du fait des plans d'austérité mis en place par des États pris de court par les effets de la crise majeure, dans un contexte d’incompétence de gestion des comptes publics, par absence de courage d'engager les réformes structurelles nécessaires.

 

12- La baisse générale des salaires, des primes, des prestations sociales, des retraites, dans tous les pays occidentaux.

 

13- Les plans d'austérité, pris dans précipitation du fait de l'affolement des effets insolubles de la crise majeure, dans les pays du Sud de l'Europe, liés à l'hyper endettement des États (5). D'importantes coupes budgétaires aux USA impactant l'emploi.

 

14- L'augmentation effrayante du chômage tous secteurs confondus. Selon l'OIT plus de 200 millions en recherche d'emploi dans le monde sans qu'aucun plan de relance n'ait été décidé par les États pour endiguer ce fléau souligne l'OIT. Un chiffrage très minoré si l'on se réfère aux vraies données de cette enquête française passée inaperçue. Côté outre Atlantique, les chômeurs sont recensés par simple sondage. 60.000 appels téléphoniques chaque mois à travers tous les États américains, des fiches d'entretien inaboutis que les agents du Census bureau complètent eux-mêmes à leur façon !

 

15- La hausse des prix des produits alimentaires, pendant que plus d'un milliard d'humains souffrent chaque jour de la faim ! En cause le dérèglement climatique, l'épuisement des sols, surtout la spéculation effrénée sur les matières premières et produits de première nécessité (7).

 

 

 

La poussée incessante de la pauvreté, de la précarité

 

Les signes de la montée en puissance de la pauvreté dans les pays développés sont évidents et criants

 

Ils se traduisent particulièrement par la baisse de la consommation tous produits et services confondus qui partout représentent 70 % du PIB.

 

Contrairement aux dires trompeurs des politiques sur le retour de la croissance, la récession est un fait analytiquement observé dans les pays occidentaux depuis le quatrième trimestre 2011. Le PIB repose à 70 % sur la consommation des ménages. Or, quand le grand public est privé de ressources nécessaires à consommer normalement il freine, diffère, ses achats de biens et de services, ou y renonce. Les restrictions portent sur l'alimentation, les vêtements, les loisirs, l'automobile, les divers services, etc. Les impayés sur le loyer, les traites de crédit, l'électricité... se multiplient. Les agressions, les vols en tout genre, montent en flèche. Au premier rang des plus démunis, les femmes seules, les familles monoparentales, les vieillards, les jeunes à la recherche d'un emploi ou d'une formation assortie d'un perspective d'emploi, les chômeurs en fin de droit. De leur côté, les États se préparent à faire main basse sur vos économies.

 

Eurostat estimait en 2010 à 115 millions le nombre de personnes menacées de pauvreté ou d'exclusion sociale dans l'UE. En 2014, nous y sommes et cela s'aggrave de jour en jour. En Grèce, premier pays du Sud frappé par la série de plans d'austérité, dont on ne parle plus, la situation de la pauvreté est dramatique. En Espagne, au Portugal, en Italie, la situation se dégrade au quotidien. Nombre de chômeurs ne sont plus indemnisés, quatre millions en Espagne, par dépit de trouver un travail et/ou parce qu'il n'y a plus d'argent dans les caisses sociales. Les coupes sombres sur les salaires des fonctionnaires, sur les pensions des retraités, des chômeurs, les petits jobs mal payés, mettent à genoux des populations entières. Tandis que dans les pays européens du Nord, Allemagne - vidéo, Autriche - article, Pays-Bas, l'on tente de cacher la misère grandissante de ces travailleurs pauvres et de ces chômeurs sans espoir.

 

 

 

En conclusion - Désormais, dans ce deuxième temps de la crise majeure, la grande partie des populations occidentales est plus encore triturée jusqu'à être broyée par l'étau de la précarité, de la pauvreté. Comme le canard préalablement cuit dont le Chef passe la carcasse dans la presse jusqu'à en sortir tout le sang des chairs attachées et de la moelle des os. Une opération, faite juste à côté de la table des riches clients des palaces, dans un bruit de craquement singulier, une émulsion finale qui leur servira de sauce en accompagnement des meilleurs morceaux du volatile préalablement découpés ! Toutefois, la tournure des événements à venir, notamment l'issue de la crise majeure surprendra, stupéfiera, les non-avertis qu'ils soient riches ou pauvres ! #

 

 

Rubriques associées

  • Particuliers gare à vos économies - voir ici et août - octobre 2013.
  • Les prix à la consommation - La pauvreté monte en flèche - L'épargne des particuliers - voir mai juillet Rubriques 2013.
  • La mainmise sur votre argent - voir ici et Février 2013.
  • La spoliation s'organise à votre insu - voir ici et février 2014.
  • Croissance mondiale ou récession ? voir ici.
  • Le produit intérieur - PIB - voir ici.
  • Les entreprises, charges trop lourds, RSI comment s'en affranchir, voir ici et mai - juillet 2013.
  • # L'implosion de toutes les composantes de l'économie et le double retournement de situation à venir - voir ici et janvier 2014.

 

 

 


 Juillet 2014


 

Le plan secret de la Chine - rubrique du 10/07/14

 

 

Le système monétaire basé sur le dollar est moribond

 

Cette devise malgré sa perte constante de valeur - 95 % depuis la création de la Réserve fédérale américaine - FED - en 1917 est restée la devise de référence et de réserve du monde. On n'a cessé d'échanger moult biens et services en billets verts, la confiance était de mise. Les banques centrales ont vendu leur or par lots entiers de lingots pour acheter des bons du Trésor US. Selon le FMI, la Suisse a vendu 877 tonnes d'or en une décennie. L'Espagne, les Pays-Bas, le Portugal ont chacun vendu plus de 200 tonnes. En 2004, N. SARKOZY a vendu un cinquième des réserves d'or de la France, les exemples de ce genre sont nombreux car il n'y avait aucune raison de douter de la valeur du dollar puisque les États-Unis menaient de main de maître le jeu économique, politique et militaire, leur devise était adossée à une réserve colossale de plus de 8000 tonnes d'or.

 

Mais l'occident qui vit au-dessus de ses moyens s'en endetté, notamment le gouvernement américain qui sous la bannière de la Pax Romana n'a cessé de conduire des campagnes militaires ruineuses dès après la seconde Guerre mondiale.

 

Si bien qu'en 2006, la FED décide de stopper la publication de la masse monétaire M3 qui indiquait la quantité de dollars circulant dans le monde. Dès lors le doute s'installe. Puis en 2007, éclate la crise financière qui ne trouve aucune solution malgré le renflouement des banques par les pays occidentaux et le recours à la planche à billet non-stop. Laissant ainsi gonfler la bulle de dettes pour in fine sauver le dollar à tout prix. Une situation qui ne cesse de faire perdre sa crédibilité au billet vert comme monnaie d'échange et principale monnaie de réserve. Depuis 2008, le constat d'échec est si évident que la FED ne peut pas arrêter la planche à billets - quantative easing  - l'arrêt produirait une destruction monétaire massive. Désormais la confiance est rompue.

 

"Si nous (la Chine) utilisions toutes nos réserves de change - 3500 milliards $ - pour acheter des obligations du Trésor - Tbonds - sachant qu'un jour la FED annoncera que 10 $ ne valent plus qu'un nouveau dollar et que ce nouveau dollar sera rattaché à l'or, alors nous serions abasourdis."  Fax du 8 février 2010 - repris par Wikileaks.

 

Dans ce contexte de grande incertitude, l'Asie et le Moyen Orient mettent en place de nouvelles stratégies. Par exemple le récent accord entre le nouveau président chinois et Vladimir POUTINE permettant à la Chine d'acheter du pétrole en yuan, non plus en pétrodollars comme c'était le cas depuis les années 1970. Le but est clair, se débarrasser du billet vert qui ne cesse de perdre de sa valeur et en contrepartie acquérir des réserves de biens tangibles, notamment de l'or.

 

 

En avril 2013, un article du Financial Times révélait les résultats d'un sondage réalisé auprès de responsables de banques centrales thésaurisant plus de 7000 milliards de réserve de change en dollars. Quatre cinquième des interlocuteurs ont pointé la politique agressive de planche à billets - QE - menée par les États-Unis et l'Europe. Les rendements trop faibles et la perte sur les devises les ont incités à changer de stratégie.

 

 

Alors qu'autrefois les banques centrales vendaient si facilement leur or, depuis quelques années elles sont devenues acheteurs. Celles de Chine, Russie, Inde, Bangladesh, Philippines, Arabie Saoudite, Thaïlande, Biélorussie, Venezuela, Sri Lanka, Ile Maurice, Mexique, Bolivie, Colombie, Corée du Sud, Turquie, Kazakhstan, Tadjikistan, Serbie, Mongolie, Malte, Argentine.. augmentent leur réserve d'or et vendent davantage de bons du Trésor par anticipation de l'effondrement du système monétaire international dont leurs dirigeants considèrent comme identique à une pyramide de Ponzi. Selon le Telegraph "les banques centrales dans le monde ont acheté plus d'or en volume en 2012 qu'à n'importe quel moment depuis près d'un demi-siècle." Selon le World Gold Council "l'investissement en lingots et pièces d'or a augmenté de 28 %, chiffre record depuis 1992."

 

 

 Où est passé l'or des nations occidentales ?

 

 

Ces dernières années, le Venezuela, la Libye, l'Iran, ont réussi a rapatrier leur or détenu au Royaume Uni. En 2013, l'Allemagne demande le retour de ses 374 tonnes d'or détenues par des banques américaines et françaises. La même année, la Pologne lance une campagne intitulée "Rendez-nous notre or". Tandis que l'Autriche, la Suisse, les Pays-Bas et le Mexique demandent que des audits soient réalisés sur leurs réserves d'or stockées à l'étranger. Même l’État du Texas envisage de rapatrier son or de la FED ! Le Sénateur CAPRIGLIONE a déclaré en 2013 "Nous essayons de savoir précisément quelle quantité d'or nous avons au Texas [...] Nous ne voulons pas simplement des certificats, nous voulons notre or." Mais comment rendre l'or de ces pays après un audit qui précise que sur les 8000 tonnes d'or de la FED il ne reste que 300 tonnes !

 

En Réalité les banques centrales n'ont pas dans leurs coffres les quantités d'or annoncées, car elles ont le droit de le louer ou de l'échanger à terme avec théoriquement une garantie de le récupérer. Elles confient cet or à des banques spécialisées - Bullion banks - qui assurent les coûts de stockage de l'or. Ces bullion banks s'accordent à leur tour le droit de le louer, sous forme de titre - papier - ou sous forme physique et les opérations de ce type peuvent s'enchaîner les unes aux autres. Selon Yannick COLLEU corédacteur de l'investisseur or & matières "le même stock d'or initialement vendu par une banque centrale ou par un détenteur de métaux précieux - HSBC par exemple - peut être ainsi loué, vendu, puis revendu". Son collègue Cyrille JUBERT d'ajouter "jusqu'à ces dernières années, très peu d'acheteurs demandaient une livraison réelle d'or physique. Cela a permis aux banquiers qui contrôlent le marché de l'or de pousser le principe des réserves fractionnaires jusqu'aux limites du système."

 

"Depuis de nombreuses années, Les États-Unis et l'Europe ont réprimé la hausse des cours de l'or et affaibli son statut en tant que monnaie de réserve internationale pour assurer le leadership au dollar et à l'euro, d'où les manipulations à la baisse sur les cours de l'or et de l'argent" extrait d'un fax de 2009 provenant de l'ambassade américaine à Beijing - Chine - source Wikileaks.

 

En avril 2013, Andrew MAGUIRE, sur Global Research, expliquait que les agents de la FED ont mis sur le marché une valeur de 500 tonnes d'or en vente à découvert - à nu - sans posséder le stock correspondant, ni la valeur correspondante - soit l'équivalent de 16 millions d'onces - 24 milliards $ - ce qui a totalement faussé la cotation à la baisse du marché placé faussement en surabondance. Ce qui permet de masquer la mauvaise gestion du dollar pour qu'il conserve sa suprématie monétaire.

 

Une chaîne de Tv allemande ouvre à son tour l'enquête - vidéo.

 

De son côté, la Chine dit clairement que l'occident manipule les cours de l'or pour garder son hégémonie mondiale, ceci en annonçant une reprise économique et la fin anticipée des QE. Par ailleurs ce qui permet à la Chine d'acheter massivement du métal jaune aux meilleures conditions de prix.

 

William KAYE, gestionnaire de hedge fund à Hong Kong relate que l'or de l'Allemagne promis au terme de 7 ans n'existe plus à la FED, il a été réparti partout dans le monde. Voilà en quoi le système ressemble à une immense pyramide de Ponzi ! Ce type de montage fonctionne tant que tout le monde joue le jeu, mais au moindre défaut de paiement le château de carte s'effondre. Le système n'a aucune assise, c'est le secret le mieux gardé par les banques centrales occidentales dans un contexte de système monétaire international moribond. Le jour où le monde découvrira qu'en plus d'émettre de la monnaie de singe, l'occident n'a aucune capacité à réunir l'or qu'il prétend détenir, s'ensuivra une situation de chaos.

 

 

L'or de la Chine

 

 

 

La situation monétaire internationale comparable à une pyramide de Ponzi n'a pas échappé à la Chine !

 

Ce pays fait d'énormes réserves d'or pour préparer l'après-dollar. Le 2 décembre 2010, le site web du Financial Time révélait que les importations en or de la Chine ont été multipliées par cinq. Si le grand public en avait saisi la signification cela aurait provoqué un chamboulement boursier sur les cours de l'or, mais personne n'en a pris conscience ! Un an plus tard, un autre article de l'agence de presse Reuters titrait "Record d'importation en or depuis Hong Kong". Là encore, aucune réaction à grande échelle ! Dernièrement, un autre site réputé Bloomberg déclarait "Les importations chinoises d'or sont telles que le pays pourrait être le plus gros consommateur." Sans que l'on s'en rende compte, progressivement au cours de ces dernières années, la Chine a fait main basse sur les réserves d'or du monde entier. L'importation chinoise de plus de 620 tonnes sur une seule année représente plus que la totalité des réserves de la BCE.

 

Selon le FMI, la Chine détiendrait 1054 tonnes d'or ! Une donnée de 2009. C'était la dernière fois que la Chine a révélé officiellement le montant de ces réserves de métal jaune. Depuis, les importations n'ont cessé de grimper en flèche, 40 tonnes en 2009, 120 tonnes en 2010, 420 tonnes en 2011, 835 tonnes en 2012. Soit à minima 2616 tonnes au début 2013, auxquelles il faut ajouter la production intérieure aurifère de la Chine, deuxième estimation, 3927 tonnes, plus que les 3391 tonnes de l'Allemagne, deuxième plus gros détenteur du monde.

 

Ces dix dernières années, la Chine a investi des milliards de yuans dans l'exploration et l'exploitation de ses mines d'or, objectif, devenir premier producteur devant l'Australie, les USA  et l'Afrique du Sud. C'est fait, selon le Figaro.fr de février 2013, le géant chinois aurait produit 380 tonnes d'or en 2011, une centaine de tonnes de plus que l'Australie. En 2012, la production se montait à 370 tonnes contre 250 pour l'Australie, 230 tonnes pour les USA. En 2013, la Chine aurait produit 428 tonnes, confirmant son titre de plus grand producteur mondial au cours des 7 dernières années.

 

Des tonnages qui ne sont pas exportés, mais conservés dans le pays, 32 rue Cheng Fang, quartier Xi Cheng, Beijing, Pékin. Aucun doute, il y a près de 10 000 tonnes de stock d'or à Beijing qui s'ajoutent à d'immenses réserves d'argent-métal. Un trésor bien suffisant pour que la Chine sorte de silence et dévoile son plan secret élaboré de longue date.

 

 
Le secret du plan chinois dévoilé

 

 

Fin 2012, le gérant de fonds Leeb a réussi à obtenir un aveu d'un diplomate chinois qui s'est vite ravisé en réalisant qu'il risquait gros en dévoilant de tels secrets. "Vos deux principales ressources sont l'eau et l'or n'est-ce pas". Ce diplomate de répondre "oui nous avons besoin de l'or pour garantie le yuan", puis il a tenté de se rétracter en disant "non ce n'est pas pour notre monnaie, c'est pour les besoins de la bijouterie". Trop tard, le but était dévoilé !

 

Il consiste à se départir définitivement du dollar en adossant, en garantissant, la monnaie chinoise - yuan - avec l'or physique du pays. Ce qui aurait pour effet de promouvoir la devise chinoise en monnaie de réserve internationale et par conséquent de plonger le système monétaire international, déjà moribond, dans l'effondrement du jour au lendemain.

 

 
La stratégie de la Chine pour accélérer et conforter son plan

 

 

Pour aboutir à ce processus de rejet du dollar, la Chine s'appuie sur 1) une stratégie de grands travaux. Par exemple le projet du canal du Nicaragua de 40 milliards $ sur 11 ans, afin de doubler l'usage commercial du canal de Panama. Elle occupe la position de top 3 des plus gros investisseurs du monde, ce qui lui permet de prendre ses marques à l'international.

 

2) Sachant qu'elle dispose d'une réserve de change de 3500 milliards $, dont 1263 milliards $ de bons du Trésor US, elle incite son immense population à retirer des dollars et à les dépenser à l'étranger et a acheter le plus d'or et d'argent-métal possible, pour ce faire elle organise et sécurise la vente de métaux précieux dans les grandes villes.

 

3) Les investisseurs chinois sont encouragés à faire des prises de participation sur des entreprises occidentales, exemple PSA, Volvo, programmes immobiliers en Californie... Le moyen d'échanger les devises  de réserve de change en dollars contre des actifs tangibles.

 

4) En décembre 2013, parallèlement à la réduction du QE de la FED, l’État chinois a cédé pour 50 milliards $ de bons du Trésor US.

 

5) Elle s'allie aux pays d'Asie, dont le Japon et d'Amérique latine, dont le Brésil, à la Russie, Turquie, avec l'Afrique du Sud et organise des échanges commerciaux diversifiés, dont le gaz et le pétrole, négociés dans les monnaies nationales, afin de s'opposer au règne du pétrodollar.

 

6) Avec ces pays, la Chine vient de fonder une banque internationale de développement, dont un fonds monétaire, au potentiel de 100 milliards $. Le moyen de protéger les économies de ces pays des fluctuations monétaires des marchés et de concurrencer la Banque mondiale, le FMI. Sans pour autant faire peser de contraintes fiscales ou structurelles aux populations qui composent ce pool - un plan signalé en février 2013.

 

En 2012, sur le site Atlantico, Antoine BRUNET, économiste et président d'AB Marchés expliquait "toutes ces initiatives chinoises convergent vers un seul objectif, promouvoir le statut international du yuan au détriment du statut international du dollar et cela jusqu'à ce que le dollar soit définitivement détrôné et ne soit plus la monnaie du monde."

 

Ce scénario va s'accélérer car de plus en plus de pays riches, dont l'Allemagne, sont en cours de négociation avec la Chine pour devenir alliés. Ce qui est confirmé par l'augmentation en flèche des échanges en yuan, y compris le marché offshore - pétrole - gaz, ce qui étonne les observateurs, selon le Financial Times. Plus de 20 pays et plus de 900 institutions financières, dont le géant britannique Tesco, utilisent le yuan comme monnaie d'échange à part entière.

 

Les preuves sont là - En 2012, la devise chinoise était classée vingtième monnaie d'échange. Selon la Banque des règlements internationaux - BRI - la banque centrale des banques centrales - en mai 2013, le yuan est passé à la treizième position, en septembre 2013 à la neuvième position. En décembre 2013, la monnaie du dragon dépassait l'euro pour se placer en challenger direct du dollar !

 

Démonstration faite que la devise et la puissance chinoise se renforcent très vite dans le monde, au point qu'aujourd'hui les États endettés ne s'adressent plus au FMI pour lever des fonds, mais à la Chine, le nouveau sauveur du monde !

 

Conclusion économique -  Une puissance économique redoutable est à l’œuvre qui contrairement à l'occident offre de vraies contreparties pour établir un système financier plus stable. Il semblerait que rien ne puisse l'arrêter. Pour cela, il suffit de comparer d'un côté la Chine avec ses 3500 milliards $ de réserve de change et ses 10 000 tonnes d'or et de l'autre les États-Unis disposant d'un système économique fictif de milliers de milliards tirés de la planche à billets, une monnaie de singe sans la moindre contrepartie tangible d'un fort Knox en partie vidé de son or.

 

 

Rubriques associées

 

Dans l'ordre des paragraphes

 

  • Le fleuve DOLLAR ne perd pas son débit, désormais le système économique ne tient plus qu'à un filigrane - voir août - octobre Rubriques 2013.
  • L'actuel bilan de toutes les banques centrales et la création monétaire - voir ici et mai - juillet 2013.
  • La BCE au secours des banques privées - voir ici et mai 2014.
  • Après l'effondrement, la mort imminente du système monétaire international - idée clé - voir ici et octobre 2013.
  • La manipulation des matières premières [...] et du cours de l'or - voir ici et mai - juillet Rubriques 2013.
  • La réserve fédérale US - FED, le principal moyen de subversion au plan mondial - voir ici et février 2014.
  • Le mouvement insoupçonné de stockage d'or entrepris par de nombreuses nations - voir ici et février Rubriques 2013.
  • L'information noyée sous la masse qui n'a pas été perçue, ni comprise par le plus grand nombre - voir ici et janvier Rubriques 2013.
  • Le cartel a toujours le moyen de couper toute opposition (de se départir du dollar, ce que tente de faire la Chine et les BRIC) - voir janvier Rubriques 2013.

 

 

 

Juillet 2014

 

 

L'iceberg du Bilderberg

 

 

 

 

 

Le nouveau président de la Commission européenne, Jean Claude JUNCKER, ancien Premier ministre du Luxembourg, paradis fiscal, vient d'être élu à ce poste clé en remplacement de José manuel BARROSO. Mario DRAGHI, ancien dirigeant de Goldman Sachs, a été nommé à la tête de la Banque centrale européenne - BCE - en janvier 2014. Christine LAGARDE, ancien ministre des finances de France, a été nommée directrice générale du Fonds monétaire international - FMI - en juillet 2011, en remplacement de Dominique Strauss KAHN impliqué dans un scandale sexuel qui a fait plus de bruit médiatique que l'élection de Barak OBAMA !

 

Quel est le dénominateur commun entre ces 5 personnages, OBAMA inclus de par la mainmise de son entourage, et tous leurs prédécesseurs ? C'est leur soutien fervent ou leur appartenance indéfectible au Bilderberg group - the shadow world governement - le gouvernement mondial de l'ombre - qui détermine leur nomination. Tous soutiennent la nécessité d'un changement radical de modèle sociétal sous la direction exclusive d'un gouvernement mondial unique, dont le Bilderberg est l'embryon. Apparemment dotés de grande autorité et initiative, ces personnages ne sont que des intermédiaires soumis aux ordres du cartel de l'ombre. Ils forment seulement la partie visible de l'iceberg du Bilderberg car certains des objectifs centraux du groupe leur sont subtilement cachés, même s'ils assistent à toutes les réunions secrètes ou très discrètes organisées par ce cartel !

 

Toutes les élections de présidents américains ont été soumises à l'approbation préalable du Council of Foreign Relations - CFR - organisation placée sous la coupe du Bilderberg. Celle-ci influe depuis les années 1920 sur la nomination de tous les individus placés à la tête de postes clés dans toutes structures politiques américaines et toutes les organisations magistrales internationales : ONU - OMS - UNESCO - OTAN - FMI - OCDE - Banque mondiale, Réserve fédérale - FED - Banque centrale européenne - BCE - Commission européenne, certains États, dont la France, ainsi que les banques et structures multinationales de la sphère privée... En voici une courte démonstration.

 

Voir le schéma organisationnel du Bilderberg à la rubrique le véritable gouvernement mondial. Voir la rubrique "Un nouvel ordre mondial, mythe, complot, ou évidente réalité".

 

Conclusion : pour comprendre la marche chaotique du système depuis la fin du vingtième siècle jusqu'à l'issue surprenante que prendra la crise majeure, il faut savoir se placer à l'arrière des coulisses, là où les maîtres du monde élaborent et font appliquer leur stratégie, d'où le caractère inédit de notre investigation.

 

 

 

 

 Juin 2014

 

 

La monnaie mondiale unique

 

 

 

En cas très probable de crise mondiale de liquidités qui dépassera la capacité des banques centrales à y faire face, c'est le FMI qui en occident USA - Europe prendra le relais en imprimant des Droits de tirage spéciaux - DTS - pour renflouer le monde. Ils seront la nouvelle monnaie mondiale de réserve à la place du dollar. Juste un moyen précurseur, le temps d'introduire la future monnaie mondiale unique très probablement adossée à l'or.

 

La force du dollar a tenu jusque-là du fait des exportations. Notamment du pétrole négociable uniquement dans cette monnaie d'échange, le pétrodollar, à la demande de l'OPEP. Même si un pays refusait la devise US, il ne pouvait se passer d'importer du pétrole payable qu'en dollars. Le billet vert est ainsi devenu la monnaie de réserve du monde entier car tous les pays détiennent des bons du Trésor US dans de fortes proportions, ce qui n'est pas le cas pour les autres devises euro - yen - yuan.

 

Ces réserves, ou monnaie de réserve, libellées en dollars, sont le compte d'épargne des pays. Ils doivent les investir sur le marché financier obligataire. Or ni la Chine, ni la Russie, fervents opposants au dollar en tant que monnaie d'échange et monnaie de réserve, n'ont un marché obligataire suffisant (peu de bons du Trésor chinois, moins encore de bons russes, la Russie étant peu endettée) pour se désengager du dollar, car de plus ils craignent prochainement sa forte dévaluation à l'initiative du gouvernement américain, raison pour laquelle ils thésaurisent beaucoup d'or physique. Selon le FMI, la Russie a multiplié par trois ses réserves d'or depuis 2008 et possède la quasi égalité de métal jaune que la Chine, un tonnage officiel largement sous estimé par ces deux pays opposés à l'actuel système monétaire international basé sur le dollar. Lors du G8 à Aquila, Italie, en 2009, le président russe Dimitry MEDVEDEV, montra une pièce d'or supranationale façonnée par les ateliers de la Monnaie royale de Belgique, qu'il nomma " la future monnaie unique".

 

S'ajoute l'Arabie Saoudite qui cherche aussi à se dissocier du dollar, le troisième pied du tabouret sur lequel repose en partie la devise US - voir cet article. Reste la réaction du reste du monde à l'immense dette extérieure des E.U. Mais le processus est bien verrouillé puisque aucun État, ni aucune société privée, ne peut s'écarter du dollar établi en système car il n'y a aucun autre univers où pouvoir aller ! Pour assurer ce verrouillage, la FED prépare une taxe dissuadant les investisseurs de se séparer des bons du Trésor US.

 

Toutefois la confiance générale peut rapidement se perdre dans ce système car tous les intervenants et les investisseurs étrangers, conscients de l'extrême fragilité de ce château de carte, prennent obligatoirement en compte l'endettement global des Etats-Unis qui va bien au-delà de la dette de l’État fédéral - 17 000 milliards $ - puisqu'il inclut la garantie de paiement pour la sécurité sociale, MediCare, MedicAid - Obamacare -  prêts étudiants,  Fannie Mae - Freddie Mac. Pour tous ces secteurs la somme porte sur des centaines de milliers de milliards de $ de garantie.

 

Puisqu'il n'y a aucune option favorable sur la croissance, sur l'augmentation des impôts. Que la seule porte de sortie pour solder partiellement la dette américaine serait l'inflation, ce que la FED tente de faire se produire depuis 2008 dans un contexte économique dépressionnaire caractérisé par une croissance atone, par d'immenses bulles financières prêtent à imploser. Finalement l'unique solution reste la dévaluation du dollar, le seul moyen d'essayer de faire face à l'immensité de la dette fédérale et des devoirs de garantie de paiements globaux. Ce type d'initiative ne produirait que le découragement et le retournement de tous les pays détenteurs de la dette américaine. D'où le mascaret des marchés obligataires envisagé d'abord via l'Asie - voir  août - octobre 2013.

  • La représentante du FMI, admet en juillet 2014 qu'il faut faire "reset" - une totale remise à plat - du système monétaire mondial - vidéo voir

Conclusion : toutes les conditions sont réunies pour aboutir à l'effondrement de la valeur du dollar. Une finalité envisagée par le shadow world government pour introduire, sous la forme d'un accord international de type Bretton woods 1944, une monnaie mondiale unique probablement adossée à l'or, l'antichambre d'un nouvel ordre économique et politique du monde#. La solution universelle à tous les problèmes tant économiques que sociétaux, qu'environnementaux#. Toutefois un évènement tout à fait inattendu lié aux immenses richesses de la chrétienté pourrait bien bouleverser la donne du cartel de l'ombre.

 

 

# Voir - Voici l'information noyée sous la masse médiatique qui n'a pas été comprise !   De quel ordre nouveau s'agit-il ? -  janvier 2013.

 

# Voir - L'annonce prochaine de solutions inédites et spectaculaires au réchauffement et dérèglement climatique  -  Le cartel vise aussi à solutionner les conséquences économiques de l'actuelle crise majeure - novembre - décembre 2013.

 

 


Juin 2014

 

 Le système économique géré par les banques centrales

est totalement hors de contrôle

 

 

Simple question de bon sens ! Pour celui qui est capable de penser clairement, il est évident que le système économique géré par les banques centrales est complètement hors de contrôle. C'est aussi l'opinion avisée de Jürgen STARK ancien vice-président de la Bundesbank et ancien économiste en chef de la Banque centrale européenne.

 

Les multiples programmes de création monétaire, les dévaluations des devises, les taux d'intérêts proches de zéro, les diverses bulles spéculatives, actuellement sur le marché des actions, sont la démonstration même de la descente en vrille du système.

 

Lors d'une conférence organisée en Allemagne par l'institut Mises, Jürgen STARK a précisé que les banques centrales, dont la BCE, ont perdu leur capacité à contrôler la situation économique. Il a conseillé aux assistants et conférenciers de se préparer à l'effondrement du système monétaire global.

 

Le système n'est qu'une fiction ! Si le système a pu être sauvé en 2011 du fait des interventions conjointes des banques centrales, aujourd'hui il n'est  qu'une pure fiction. Depuis 2008, entrée en crise majeure, les autorités monétaires se démènent pour éviter l'effondrement d'une nouvelle pièce maîtresse telle que Lehman Brothers, sachant que toute nouvelle péripétie entrainerait la fin du système. Vidéo-témoignage ex de Goldman Sachs.

 

 

 

 Mai 2014

 

 

Le traité du nouveau grand marché Transatlantique, le diktat absolu

 

Aucun dirigeant des pays de l'UE n'a accès à ces négociations !

 

 

 

L'organisation de coopération et de développement économique - OCDE - créé en 1961, regroupant 29 pays développés, sous l'impulsion du Shadow Government fut l'initiatrice de l'accord multilatéral sur l'investissement - AMI - négocié dans le plus grand secret entre 1995 et 1997 par Leon BRITTAN, Commissaire européen pour les relations extérieures, membre éminent du Bilderberg group. L'objectif, obtenir un maximum de droits au service exclusif des multinationales, établir une nouvelle juridiction privée dévouée à leur cause, permettant en cas d'entrave à leur volonté hégémonique d'assigner en justice un État et obtenir de lui de très lourdes pénalités.

 

Une fois percé à jour, ce projet a suscité tant de polémique, de zizanie, qu'il n'a pas été adopté dans sa globalité, sans pour autant être annulé. En 1998, il a été remplacé par le projet du nouveau marché Transatlantique - NTM - applicable à l'horizon 2015 et par l'accord général sur le commerce et les services - AGCS. À tous deux ils englobent 50 % du PIB mondial et 40 % des échanges internationaux actuels et changent de tutelle, passant de l'OCDE à l'OMC - organisation mondiale du commerce - conservent leurs objectifs initiaux visant à réduire le pouvoir économique des nations participantes.

 

 

Des négociations faites dans le plus grand secret 

 

Le NTM , accord de libre-échange entre les États-Unis, le Canada et l'Union européenne - bloc euro-atlantique - également négocié dans le plus grand secret en juin - juillet 2013, les négociateurs utilisent des téléphones cryptés. Aucun dirigeant de pays de l'UE, ni aucun membre du parlement européen, lieu de tous les simulacres de démocratie, enquête inédite,  ne peut participer aux négociations, ils doivent se contenter d'un simple résumé. Le NTM a été impulsé et soutenu par les principales organisations du Gouvernement de l'ombre : l'Aspen Institute, l'European-American Business Council - la French-American Chamber of Commerce, le CFR, le German Marshall Fund, l'European Round Table, des organisations mondialistes très puissantes - voir la position de certaines d'entre elles sur le schéma à l'onglet introduction.

 

 

Bruxelles, le royaume des lobbies

 

Selon l'enquête du Corporate Europe Observatory - CEO - faite sur la base du registre de transparence, fichier crée à la demande des eurodéputés, jusqu'à 900 groupes de lobbies, dont 55 % représentent la finance, exercent une influence sur la Commission européenne, sur le Parlement européen basé à Strasbourg. Ils emploient jusqu'à 30 000 personnes qui s'activent dans les bureaux des ONG, des syndicats, des représentations régionales, des organisations internationales, des cercles de réflexion - think tanks. Le record appartient au milieu financier avec 1700 lobbyistes dévoués. Le CEO conclut "Avec de tels moyens, ces organisations ont largement réussi à influencer l'agenda européen sur les réformes financières, il est dangereux qu'un secteur qui a provoqué autant de dégâts puisse avoir une telle influence sur les législations."

 

 

 Les autres blocs, façon boa constrictor

 

Le NTM s'ajoute aux autres blocs déjà opérationnels. L'Union Nord-américaine - ALENA - Canada - Mexique - USA de 2010. L'Union asiatique de 2007. Les Etats-Unis d'Afrique de 2007. L'UNASUR - Union des nations Sud-américaines de 2008. Le SICA - Système d'intégration Centre-américain de 2008. L'accord de libre-échange Asie pacifique - Trans-pacifique - PTP en cours de négociation. Autant de moyens ignorés du grand public mis en oeuvre par le Shadow Government pour enserrer le monde entier et le soumettre au dictat absolu du mondialisme.

 

 


L'ascendance des 2300 multinationales américaines

 

Tous les profits réalisés à l'étranger peuvent être exonérés d'impôt à condition qu'ils soient réinvestis hors des USA. Les multinationales fortes de leur pactole détaxé peuvent acheter des pans entiers de l'économie. En Angleterre, le géant Pfizer vise le rachat d'Astrazeneca pour 106 milliards $. En France General Electric - GE - disposant d'une cash de 57 milliards $ à l'étranger se porte acquéreur d'Alstom pour 13 milliards $ et se propose de payer 25 % de plus que la valeur boursière du groupe français. L'impact insoupçonné sur la souveraineté nationale - vidéo.

 

L’État français soumis aux règles européennes ne peut pas nationaliser une entreprise en difficulté au nom de la protection de la concurrence libre et non faussée, ce qui ne correspond pas au cas Alstom. Le gouvernement est ainsi privé de toute politique industrielle Malgré tout, il persiste à jouer son rôle de bon samaritain désireux de donner l'impression qu'il maîtrise la situation au mieux des intérêts nationaux.

 

D'où provient cette puissance financière ?

 

Depuis 2008, entrée en crise majeure, la FED - banque centrale US - émet 1 milliard $ toutes les 10 secondes. Une monnaie de singe, devise de référence mondiale, que les grandes banques et les 2300 multinationales peuvent obtenir à un taux d'intérêt quasi nul. Des montagnes de liquidités qu'elles réinvestissent sur les places financières avec un ratio de profit minimal de 50 pour 1, de quoi acheter en Europe des pans entiers de l'économie, 1000 fois un rachat identique à celui d'Alstom.

 

 

 

 

Conséquences insurmontables du NTM

 

 

 

Le grand public n'a pas idée de ce qui l'attend. La sécurité alimentaire, environnementale, le modèle agricole, le droit à la concurrence...sont totalement remis en cause. Par exemple, du bœuf américain aux hormones, du poulet traité au chlore, des céréales OGM dans les assiettes... sans pouvoir différencier l'origine de ces aliments des produits similaires provenant d'Europe. Des OGM dans les champs sans pouvoir empêcher la contamination des autres espèces par transgenèse. Des boissons et des aliments nocifs dont les additifs ne pourront pas être interdits, dont la présence dans le circuit de distribution ne pourra pas être interdite, sous peine de poursuite pour entrave à la libre concurrence...

 

Pour les États, l'abaissement des normes sanitaires, environnementales, juridiques, de libre concurrence... La perte de 30 % des droits de douane pour les produits importés des USA - Canada. L'impossibilité de s'opposer stricto sensu à ces importations, ou d'y opposer divers règlements intérieurs sanitaires, juridiques... sous peine que l’État soit poursuivi devant des tribunaux privés dévoués aux multinationales et s'acquitter de pénalités allant jusqu'au milliard $. La montée en puissance des restructurations, des fermetures de petites entreprises et exploitations agricoles, la perte d'emplois par dizaines de mille...

 

Pour pallier à l'absence de courage des politiques, le conseil municipal d'un petit village d'Ardèche prend les devants contre toutes les conséquences de ce traité - vidéo.

 

Après avoir perdu leur souveraineté monétaire, fiscale, budgétaire, bancaire, numérique, du fait du carcan de la constitution européenne, les États ont désormais perdu leur souveraineté juridictionnelle - vidéo

 

 

 

 

Mai 2014

 

Une fois encore, la  banque centrale européenne se prépare à secourir les banques privées - article du 8 avril 2014

 


 

 

Après un prêt à long terme - LTRO - d'un total de 1000 milliards € au taux de 1 % accordé aux banques privées en 2011 - 2012, qu'à minima les banques italiennes et espagnoles n'arrivent pas à rembourser à échéance février 2015, sous prétexte de déflation en zone euro, la BCE prépare à nouveau pour le début du deuxième semestre 2014 une aide massive de même ampleur au milieu bancaire à un taux historiquement bas de 0,25 %. Une mesure non conventionnelle décidée par le Conseil des gouverneurs dans le cas d'une inflation inférieure à 0,5 %.

 

Faux prétexte 1) car la déflation # annoncée n'est pas une baisse des prix des produits de grande consommation en faveur des consommateurs, au contraire nombre de produits de première nécessité sont en hausse constante. Dans la vie de chaque jour, déflation signifie la baisse marquée des volumes de vente, tous secteurs, tous circuits de distribution confondus, incluant les ventes sur internet qui stagnent. De surcroit, les consommateurs pénalisés par la perte de leur pouvoir d'achat sont trompés par nombre de produits dont le volume et le poids ont été diminués sans baisse de prix correspondante, pour donner l'impression de stabilité des prix. L'Europe du Sud est en récession depuis 2012, les pays Bas, pays du Nord, ne peut cacher une récession de 1,4 % au premier trimestre 2014. Mais les pouvoirs publics des autres pays travestissent ce terme péjoratif en celui plus rassurant de déflation, ou de croissance zéro. Toutefois, le temps de l'hyper déflation des prix approche pour de vrai, voir crise majeure, réactions du grand public, la crise ne passera pas par moi, novembre - décembre 2013.

 

Contre toute attente, cette nouvelle opération de refinancement des banques privées par la BCE, sous forme de prêt illimité jusqu'au deuxième semestre 2016, est soutenue par la Bundesbank - banque centrale allemande.

 

Puisque les règles des traités de l'UE, conçus pour engluer les États, interdisent à la BCE de racheter la dette publique - bons du Trésor - obligations - directement aux États, comme cela était coutumier avant l'UE, lorsque chaque État souverain pouvait emprunter directement des fonds auprès de sa propre banque centrale. Puisque l'opération non conventionnelle de rachat direct de 200 milliards d'obligations souveraines - SMP - de mai 2010 a été suspendue en janvier 2012.

 

Faux prétexte 2) permettre aux banques de multiplier les crédits en direction de l'économie de terrain, pour favoriser l'investissement, la consommation et l'emploi. Argument factice puisque la demande de crédit des particuliers et des entreprises ne cesse de diminuer du fait de la récession en Europe depuis 2011, selon le rapport de juin 2014 du CEPR  - réseau de 800 économistes.

 

Finalement, ce sont les banques hyperendettées par les conséquences de leur hyperspéculation sur les places financières qui seront bénéficiaires de cette masse de liquidités.

 

Les banques pourront ainsi :

 

1) Se débarrasser facilement de toutes les obligations d’État - bons du Trésor - à faible rendement, à risque : Grèce, Portugal, Espagne, Italie..

 

2) Acheter des bons du Trésor pour le compte du pays dans lequel se trouve leur siège social, afin de tenter de délester la dette de l’État.

 

3) Se débarrasser facilement de toutes les actions de bourse véreuses, à faible rendement, à perte, à haut risque, qui pénalisent leur compte d'exploitation.

 

4) Sortir de leur bilan tous ces actifs brûlants pour les transférer vers le compte d'exploitation de la BCE, pour en alourdir le bilan.

 

5) Tenter de s'aligner à l'exigence des nouvelles normes bancaires de Bâle III qui imposent un ratio plus approprié entre fonds propres - création de crédit - assurance du risque de perte des crédits alloués. Certaines banques y parviennent en trafiquant leur logiciel de gestion, via l'ingénierie informatique.

 

6) Gagner du bonus, une fois leur bilan épuré, elles pourront spéculer à nouveau sur les marchés financiers avec cette manne d'argent public, cette monnaie de singe, polycopiée par les imprimeries de la BCE.

 

7) Simuler l'apport crédit en direction de l'économie de terrain. Depuis 2008 les banques se retiennent d'accorder les prêts nécessaires au fonctionnement des petites entreprises, au recrutement de chômeurs. Ceci au détriment de l'investissement indispensable à l'essor de l'économie réelle - voir Les entreprises et le crédit bancaire - les PME reçoivent seulement 5 % des prêts accordés par les banques ! mai - juillet 2013.

 

Faux prétexte 3) La BCE s'apprête à injecter des liquidités sur les marchés financiers, via les banques, pour compenser la baisse de production monétaire - planche à billets - envisagée fin octobre par la FED. Démonstration que la création monétaire mondiale est orchestrée par le Cartel de la FED, que l'objectif est de tenir en bride l'économie mondiale.

 

Conclusion : le système économique post 2008 caractérisé par la récession assortie de l'hyperendettement des banques et des États ne tient que par la monnaie de singe, tirée du néant, produite par milliers de milliards dans les imprimeries des banques centrales. En Europe, c'est le milieu bancaire qui est soutenu, le programme SMP doté de 200 milliards € engagé en mai 2010 par la BCE visant à racheter la dette obligataire des États a été suspendu en janvier 2012. Par contre l'opération de financement illimité des banques par la BCE se poursuit, il s'agit du plus grand transfert d'argent public en direction du secteur financier privé, au détriment des États et des populations.

 

  # Voir l'article suivant : Qu'est-ce que la déflation ?

 

 

 Mai 2014

 

 Qu'est-ce que la récession ?

 

 

La récession ne signifie pas la baisse des prix mais la baisse de la masse monétaire. C'est le système composé des banques centrales et des banques privées qui génère de la monnaie par l'octroi de prêts. Alors que la logique voudrait que ce soient les dépôts de liquidités des entreprises et des particuliers qui puissent générer la masse monétaire !

 

Ce système financier sans fondement est donc entièrement artificiel.

 

Vu qu'il y a risque de défection dans le remboursement de prêts, les banques commerciales se doivent d'avoir des fonds propres pour garantir le dépôt de chacun des déposants. D'où la norme établie : le total des prêts accordés par une banque ne doit pas dépasser 12 fois le montant de son capital - fonds propres. Or dès les années 2000 les banques ont prêté jusqu'à 30 fois la valeur de leur capital - principe des réserves fractionnaires - d'où l'obligation actuelle de réduire la taille de leur bilan pour tenter de surseoir à leur situation de faillite.

 

Les acteurs de l'économie de terrain, entreprises et consommateurs, ont à subir cette restriction de crédit. Pour premier effet : la baisse de la masse monétaire, suivie de la baisse des prix, nommée déflation. En France, la baisse de la masse monétaire est effective depuis plusieurs années, la baisse générale des prix en est une des conséquences. C'est actuellement le cas pour le prix des produits industriels en Allemagne, Italie, France (chute de la production industrielle française de 3,7 % de mai 2013 à mai 2014), s'en suivra donc d'ici peu la baisse des prix de détail.

 

Quel serait le bénéfice de cette baisse de prix pour un pays confronté à une économie atone caractérisée par une envolée du chômage, par la baisse du pouvoir d'achat ? Voir "Crise majeure, les réactions du grand public". La majorité des consommateurs après avoir profité de quelques opportunités de prix bas sur des produits manufacturés ne consommera pas plus que nécessaire les produits du quotidien.

 

D'ores et déjà malgré les opérations de renflouement à répétition opérées par la BCE les banques ont à faire face à un nombre croissant d'impayés, d'où leur retenue à prêter même aux emprunteurs fiables. Un cycle qui entretient 1) la récession 2) la baisse des prix 3) la hausse de la dette d'un État confronté aux entrées fiscales insuffisantes, d'où l'appel à plus d'emprunt sur les places financières. Si la dette nationale est détenue par plus d'investisseurs étrangers - cas de la France à 65 % - il se produit un transfert grandissant de richesse de l’État emprunteur vers les détenteurs de la dette - obligations - bons du Trésor.

 

Conclusion : La récession met à nu la condition comptable inextricable des banques. Elle fait s'effondrer le niveau de vie. Une future très probable baisse générale des prix n'aurait aucun effet moteur dans l'actuel système dont les rouages macroéconomiques ovalisés sont inopérants, dans un contexte économique atone.


 

 

Avril 2014

 

 

Le plan Hollande de la grande austérité, 2015 - 2017

 

 

En période de récession économique, ce plan d'austérité de 50 milliards €, qui s'ajoute à la ponction de 20 milliards € de hausse d'impôts, à la baisse de 10 milliards de prestations sociales sur les couches les plus modestes de la population, est le plus extrême imposé au pays depuis la seconde Guerre mondiale.

 

Au final, ce plan dépourvu de toute réforme structurelle de l’État, amplifiera la récession d'autant.

 

Paradoxalement, ce plan accorde sous l'intitulé "Pacte de responsabilité" plus de 35 milliards € aux entreprises, auxquels s'ajoutent d'autres baisses d'impôt, mais sans transparence, sans compte à rendre, sans aucune contrepartie en faveur de l'emploi, de la redistribution des richesses produites. Par les ponctions faites sur les revenus les plus modestes, salariés, fonctionnaires, retraités, et par les baisses des prestations imposées aux plus pauvres, ce plan organise le plus grand transfert de revenus, notamment celui des classes modestes, en direction des entreprises, y compris les plus riches. Comble d'ingratitude, le MEDEF - patronat français - propose des mesures plus drastiques pour les mutuelles au détriment des administrés et des garanties de l'Assurance maladie par la mise en faillite des hôpitaux dont la gestion est déficitaire.

 

Ce transfert de richesse vers le secteur privé s'ajoute à celui qu'organise la BCE depuis 2010, consistant à racheter avec de l'argent public les titres véreux des banques privées, transférant ainsi illégitimement la valeur de ces titres du bilan des banques vers celui de la BCE - voir ci-dessus : une fois encore la BCE se prépare à voler au secours des banques privées. Ce plan est aussi un camouflet pour rassurer les investisseurs étrangers détenteurs des 2/3 de la dette française, sinon sans leurs concours financier c'est la faillite totale de l’État.

 

Revirement du gouvernent à 15 jours des élections européennes. Il annonce aux 1,8 million de citoyens les plus modestes redevables de l'impôt en 2012, jamais imposés jusque-là, un retour à la non-imposition dès 2013. Coût estimé 1 milliard €, soit disant compensable par la lutte contre la fraude fiscale. Au final, sans dire mot, c'est un objectif de hausse fiscale de 4 milliards qui est prévu pour le dernier trimestre 2014 !

 

Le 6 août 2014, le conseil constitutionnel remet en cause ce pacte.

 

Conclusion : Puisque le crédit bancaire accordé aux PME est limité à 5 % du budget total destiné au milieu de l'entreprise - voir les entreprises et le crédit bancaire, mai - juillet 2013 - l’État essaie de contrebalancer cette difficulté évidente au quotidien, dans un contexte de récession, en accordant des exonérations de charges sans la moindre contrepartie, tout en cherchant à rassurer les investisseurs étrangers détenteurs des 2/3 de la dette française.

 

Sur le fond, ceci correspond en tous points au double plan du Cartel de l'ombre potentialisé depuis 2008, consistant à saper la souveraineté des États-nations, désorientés par l'ampleur de la crise majeure, en provoquant la dessiccation de l'économie de terrain. La scission de l'Europe par l'écroulement multiforme des pays du Sud, dont la France est le pivot, est largement engagée. Voir ici le nouveau traité Transatlantique - mai 2014.

 


Toutes les économies potentielles cachées ou inavouables

 

 

Les 1244 agences d’État, dont le coût de fonctionnement de 65 milliards € est exorbitant, plus que l'éducation nationale, 62 milliards !

 

Déjà en 2012, un rapport alarmant de l'inspection des finances dénonçait parmi ces agences : des comités inutiles, fantômes, des missions obscures, une gestion douteuse, l'usage de doublons entre agences, etc. Parmi elles, la plus connue, Pôle emploi, des musées, des universités...


Conclusion, elles sont inutiles dans la plupart des cas.

Un échantillon d'autres gaspillages d'argent public ici.

 

 

L'URSSAF, un traitement impitoyable pour les artisans, les TPE, un organisme privé pour gérer de l'argent public !

 

440 milliards de cotisations perçues, contre 350 milliards pour le budget de l’État. La plupart de ses dépenses internes sont inutiles, non transparentes et luxueuses... Le nombre d'agences est double comparativement aux futures régions. L'Acoss censé superviser les caisses régionales d'URSSAF n'est qu'un doublon très cher payé par les contribuables. Enfin, l'incompétence et la gestion féodale de cet organisme sont le cauchemar des indépendants. Voir la rubrique les entreprises - prélèvements trop lourds - RSI - comment s'en affranchir -  Rubriques 2013.

 

 

 

 

Mars 2014

 

 

L'union bancaire européenne - une goutte d'eau dans l'océan

 

 

 

 

Le 20 mars, les représentants du parlement européen sont parvenus à un accord sur le mécanisme de résolution des crises bancaires, le dernier pilier de l'union bancaire. Ils se vantent de cette "amélioration majeure - de ce succès énorme".

 

C'est la constitution en huit ans d'un fonds de 55 milliards € provisionné par les banques qui pour la plupart sont en manque de liquidités. Par exemple en mai 2014, la Deutsche bank, la plus grande banque allemande, était désespérément à la recherche officiellement de 11 milliards €, officieusement de plus de 50 milliards, offrant 30 % de ristourne pour l'achat de ses actions. Mais il faudra attendre 2018 pour que ce fonds puisse disposer de 70 % de ce montant, c'est dire à quel point les caisses des banques sont vides.

 

Au mieux, en cas de crise grave, ce fonds permettrait tout juste de sauver de la faillite deux ou trois des principales banques. Le milieu bancaire de l’Eurozone dispose au total de 218.600 agences en activité, sachant qu'en 2012, 5500 d'entre elles ont fermé, 7200 en 2011, que les fermetures se poursuivent. Sachant qu'en 2008, l'Allemagne avait évité la faillite de la Hypo Real Estate en payant 102 milliards € pour cette banque considérée avant la crise comme n'ayant qu'un faible risque systémique.

 

Dans tous les cas de figure, ce fonds ne pourra pas emprunter auprès du mécanisme européen de stabilité - M.E.S - disposant théoriquement de 500 milliards €. Un pseudo capital uniquement mobilisable sur les marchés financiers et soumis à leur bon vouloir. C'était le moyen initial de garantir l'union bancaire en contenant toute crise bancaire potentielle. Le parlement s'étant désengagé de la mutualisation des moyens à mettre en œuvre puisque selon lui ce sont les États qui ont à superviser ce fonds avec les piètres moyens des banques privées hyperendettées. Les États n'ayant comme perspective qu'une possible mutualisation des moyens de tous les pays membres de l'UE qu'à l'issue des huit ans !

 

Conclusion : Cette union n'est qu'une goutte d'eau dans l'océan de l'hyperendettement des banques et des États. Le risque bancaire reste entier auquel s'ajoute le risque souverain de défaut de paiement des États. Dans tous les cas de faillite bancaire, ce sont les déposants qui seront en première ligne - voir la spoliation s'organise à votre insu, février 2014.   Particuliers gare à vos économies, août - octobre 2013.    L'épargne des particuliers, mai - juillet 2013.    La mainmise sur votre argent, février 2013.

 

 

 

 

 Mars 2014

 

L'Ukraine, un bras de fer perdu d'avance

 

 

 


Rien ni personne ne peut changer l'acte de sécession de la Crimée. L'option militaire n'est pas envisageable car l'Ukraine n'est pas protégée par l'article 5 de la charte de l'Otan.

 

 



Les sanctions contre la Russie, l'effet psychologique inattendu

 

Les sanctions contre la Russie ne sont que du verbiage ! Dans un premier temps, ce n'est que le blocage de transactions bancaires pour les détenteurs de cartes de crédit Visa et MasterCard, la limitation ponctuelle à l'exportation de certains produits allemands de haute technologie, sans le moindre impact économique.

 

Mais dans un deuxième temps, c'est l'effet psychologique inattendu sur le territoire russe : les prêts sont difficiles à obtenir, l'investissement est en baisse. Le 12 mai, la banque centrale de Russie indique que le public se débarrasse de ses roubles, de l'ordre de 10 milliards d'euros de roubles ont été échangés contre d'autres monnaies. Les fuites de capitaux ont atteint 46 à 160 milliards € au premier trimestre 2014. Le rouble a perdu 10 %, d'où la hausse des importations et la survenue de l'inflation, de la récession. La note de la Russie a été dégradée par Standard & Poor's à BBB ainsi que celle de grandes firmes russes.

 

Pour l'UE

 

Suspendre l'importation des 30 % de gaz russe n'est pas envisageable du fait de l'interdépendance commerciale avec la Russie. L'UE pourrait envisager l'importation de gaz de schiste américain dont les infrastructures ne sont pas encore adaptées à l'export, ce qui la rendrait plus encore soumise au nouveau traité du grand marché Transatlantique applicable en 2015. Tandis que la Russie s'est organisée depuis une décennie pour diversifier et augmenter ses exportations vers l'Asie, en liquéfiant son gaz pour le transport maritime, un méga-contrat  de 400 milliards $ tout juste finalisé avec la Chine. Sanctionner la Russie reviendrait pour les européens à perdre la manne des 40 millions de touristes russes qui visitent l'Europe chaque année et faire l'impasse sur les ressources de nombreux produits importés par ce partenaire commercial incontournable.

 

Avant la sécession de la Crimée, l'UE s'était engagée sur une aide à l'Ukraine de 11 milliards €, alors que ce pays en faillite nécessite une aide immédiate de 35 milliards € pour ne pas faire défaut + 10 milliards en cours d'année + 5 milliards en 2015. Mais comment dégager ces aides alors que l'UE ne parvient même pas à garantir les fonds nécessaires à une union bancaire - voir l'article ci-dessus. Dans le même temps, double jeu du Shadow Government, l'Ukraine s'est fait déposséder de son stock d'or de 42 tonnes - voir le mouvement insoupçonné de stockage de l'or - le dépouillement se confirme, février 2013.

 

Les mesures russes potentielles de rétorsion

 

À minima pour tous les pays agresseurs : par exemple pour la France, 3° investisseur étranger en Russie après l'Allemagne et la Suède, la remise en cause  des investissements de 12 milliards $ par an pour les 6500 entreprises exportatrices, les 1200 entreprises et les banques qui y sont implantées.

 

La Russie exige que l'Ukraine s'acquitte de 35 milliards $  d'impayés et manque à gagner sur les livraisons de gaz russe. Le 10 avril, POUTINE a mis en demeure les européens d'assurer le paiement de cette dette, faute de quoi leur approvisionnement en gaz serait menacé. Une épine empoisonnée pour l'UE.

 

La Russie exporte du platine, nickel, diamant, du palladium des produits rares dont les cours ne cessent de monter, indispensables pour diverses productions industrielles, secteur de l'automobile, électrique, électronique, chimie, joaillerie, dentaire. Elle pourrait restreindre, voire stopper ce type d'exportation.

 

Au pire : vente de bons du Trésor, notamment US - non remboursement des prêts contractés par l’État et les entreprises russes - confiscation des actifs occidentaux - achat de devises asiatiques en remplacement des occidentales - fin du commerce avec l'UE et report total vers l'Asie - fin de l'utilisation du dollar dans les échanges commerciaux.

 

Cyberattaques contre l'occident : pannes électriques et informatiques géantes dans tous les secteurs d'activité, déraillement de trains de marchandises dangereuses, empoisonnement de réseaux d'eau...

 

Conclusion : L'Europe n'a pas les moyens de ses projets de sanction contre la Russie, même si ce type d'annonce a un effet récessionniste côté russe. Toutefois, le bras de fer est perdu d'avance, d'autant plus qu'en cas de sanctions directes, le peuple russe se mobiliserait aussitôt contre une Europe considérée comme hautaine, hyperendettée, désorganisée, en pleine récession. Assurément la rétorsion russe à minima ou au pire participerait à activer le déclin de l'Europe et l'instauration d'un nouvel ordre économique et financier du monde.

 

 

 

 

Février 2014

 

 

La spoliation s'organise à votre insu - braquage à l'européenne

 

 

 

Puisque la crise de l'endettement de l’Eurozone s'éternise, les pays du Nord  de leur propre chef et sous l'influence de la Commission européenne, elle-même soumise aux ordres du gouvernement de l'ombre, ne veulent, ne peuvent plus payer pour l'incompétence des pays du Sud inaptes à gérer les finances publiques, n'ayant pas organisé les réformes de structure avant 2008, entrée en phase de crise majeure. La Bundesbank - banque centrale allemande - BUBA - demande à ce qu'une taxation sur l'épargne des particuliers soit appliquée avant que les États dont la gestion publique est assainie, notamment l'Allemagne, ne soient sollicités de nouveau pour rattraper toutes les conséquences de cette incompétence. Avant que ne se produise un effondrement systémique des banques par effet dominos, puisque toutes sont interconnectées.

 

Après le FMI qui persiste et signe pour organiser non plus la taxation des contribuables mais celle des déposants plus nombreux que les premiers ! S'agissant cette fois du relevé bancaire annuel des particuliers, toutes lignes de compte confondues, un butin qui rapporterait 700 milliards €, de quoi résoudre la crise de la dette en Europe ; désormais c'est la BUBA qui demande à l'identique une taxation sur l'épargne des particuliers, ou sur la globalité de leur compte, modèle FMI.

 

Une taxe applicable en soutien aux obligations d’État - bons du Trésor - titre de dette à long terme émis par les États, la condition sine qua none avant d'apporter une aide éventuelle aux pays européens du Sud. De surcroit, il faut que cet acte de spoliation soit appliqué à l'improviste, par exemple au cours d'un week-end, à l'instar de la dépossession des comptes privés faite à Chypre en 2013, afin d'éviter toute fuite de capitaux de tous les comptes bancaires, y compris des plus modestes. Source initiale, agence Reuters.

 

Une idée qui n'est pas nouvelle car en 2011, le Boston Consulting Group - BCG - avait avancé l'idée qu'une ponction de 30 % sur tous les actifs des particuliers serait le seul moyen de sortir de la crise de l'euro, ce dernier taux pourrait bien être le bon ! Pour avoir une idée, l'endettement réel de la France est proche de 5000 milliards contre 11000 milliards pour l'épargne des particuliers. C'est ce contrepoids qui permet à l’État français de poursuivre ses immenses emprunts sur les marchés financiers !

 

Ce projet issu du quatuor, FMI -  BCG - Commission européenne - BUBA - pourrait aller jusqu'à mobiliser tout ou partie de l'épargne des particuliers et voir le jour prochainement au sein des 28 pays de l'UE. Source agence Reuters - Zero Hedge - développement ici.

 

En juin 2014, l’État australien décide de saisir les quatre-vingt mille comptes bancaires inactifs depuis 3 ans, notamment ceux des retraités en maison médicalisée. Montant du butin 360 millions $.

 

C'est un sujet clé que nous avons anticipé et expliqué à plusieurs reprises, la première fois un an plus tôt, voir la mainmise sur votre argent, février 2013.  L'épargne des particuliers, mai - juillet 2013  et  Particuliers gare à vos économies, août - octobre 2013 - ici.

 

Conclusion : le prochain ébranlement du secteur bancaire pourrait être l'excuse pour l'application immédiate de ces mesures de spoliation. La zizanie est donc aux portes de l'UE, elle pourrait bien conduire à la rapide dissolution de la zone euro, simultanément à l'abandon des souverainetés nationales ; à l'acceptation spontanée d'un nouvel ordre du monde, sous la forme première d'une totale refonte du système économique et monétaire mondial. Une offre à l'identique, passée totalement inaperçue, faite par le FMI, en 2007, juste à l'entrée en crise majeure, voir en janvier - Voici l'information noyée sous la masse qui n'a pas été perçue, ni comprise, par le plus grand nombre.

 

 

Février 2014

 

 

 

La spoliation mondiale organisée depuis 2008 par l'usage massif de la planche à billets - animation



 

Juste une correction à faire sur cette sympathique animation à propos de la FED - réserve fédérale - banque centrale américaine - qui ne s'est pas trompée sur la politique économique des USA. En fait, elle l'organise en ce sens pour avoir la main mise sur l'économie mondiale, sous la direction du Shadow Government.

 
Voir le bilan de toutes les banques centrales  -  La création monétaire, mai - juillet 2013. Voir les énormes masses d'argent ne circulent pas, mars - avril 2013.

 

 


Pour y voir de plus près, voici l'abrégé du cycle de la création monétaire aux États-Unis

 

Pour faire face à son hyperendettement, le service du Trésor américain émet des titres obligataires - bons du Trésor - que la FED - banque centrale - achète en faisant tourner la planche à billets, 60 milliards $ par mois.


Puis, la FED gère ces titres sur le marché mondial au mieux de ses intérêts en organisant des interventions massives sur les marchés obligataires et sur la plupart des autres secteurs, l'or par exemple, pour ne cesser d'en manipuler les cours et par là- même tenir en bride l'économie mondiale.

 

 

C'est open bar pour les grandes banques américaines qui elles aussi sont bénéficiaires de ses montagnes de liquidités produites par la FED à un taux de 0,25 %, historiquement le plus bas. Une manne qui leur sert à faire des gains de 25, 50...pour 1 en multipliant les crédits et les actions spéculatives en bourse avec de l'argent qu'elles n'ont pas en dépôt - l'immense trésor de leurs réserves fractionnaires - vidéo.

 

 

 

 Février 2014

 

 

La réserve fédérale américaine - FED -

le principal moyen de subversion au plan mondial


Vidéo

 


Pour avoir la mainmise sur l'économie mondiale la FED dispose de fonds secrets que même le Congrès ne parvient pas à percer à jour. L'investigation du Congrès porte sur 9000 milliards $ qui n'apparaissent pas sur le bilan comptable de la FED - voir cette vidéo.

 

 

L'équivalent du PIB annuel de la Chine ! 4 fois celui de la France ! L'équivalent de 30 000 $ pour chaque américain, de 100 000 € pour chaque français ! Aucune correspondance avec l'affaire Madoff, 50 milliards, l'affaire Kerviel 5 milliards, pourtant aucun média n'en a fait état. Avec de tels moyens financiers, la FED peut manipuler les opérations de bourse du monde entier, financer la CIA pour diverses opérations de subversion.... alimenter les réseaux de corruption, les centres de recherche secrets sur diverses applications de hautes technologies, etc. Voir dans quel but ultime la FED soutient-elle à bout de bras l’État américain ? Voir le positionnement de la FED  sur le schéma - rubrique le véritable gouvernement mondial.

 

 

 La FED soutient secrètement les marchés actions

 

 

En juin 2014, la FED confirme sa décision de réduire l'injection de liquidités dans l'économie, initialement pour le rachat de la dette américaine et le renflouement des banques. C'est ainsi que le quatitative easing - QE - diminue de 10 milliards/mois depuis décembre 2013, passant de 85 milliards/mois à 35 milliards $ en juillet 2013, jusqu'à interruption prévue pour octobre 2014, soi-disant du fait d'une reprise de l'économie nord-américaine qui ne se concrétise pas. Comment se fait-il que cette remise en question du QE ne porte pas souci aux marchés actions ? Zero Hedge se basant sur une étude de l'Official Monetary and Financial Institutions Forum - OMFIF - donne l'explication renversante que la FED, dans une moindre mesure les autres banques centrales, intervient secrètement parmi les investisseurs majoritaires sur les marchés actions. Une initiative non conventionnelle qui maintient le cours anormalement élevé des actions, alors que le rôle de chaque banque centrale consiste uniquement à maintenir la stabilité du système financier et monétaire.

 

La FED fait intervenir des intermédiaires, entre autres, l'administration d’État des devises étrangères de la Chine, structure de la Banque de Chine, la plus grande détentrice d'actions au monde. L'OMFIF a relevé 400 investisseurs publics répartis dans 162 pays détenteurs de 29.000 milliards $ d'actions. Derrière l'objectif officieux de doper la consommation des ménages en créant un univers économique artificiel par le maintien d'un niveau tout aussi factice du cours des actions et du dollar se cache la volonté de tenir sur pied l'économie américaine. Le but final est de permettre au géant US de garder sa suprématie afin d'assurer prochainement l'introduction d'un nouvel ordre du monde économique auquel toutes les autres nations devront se soumettre. Voir Rubriques 2013, août - octobre, la mort imminente du système monétaire - Idée clé.

 

 

 

 Janvier 2014

 

 

 L'implosion de toutes les composantes de l'économie réelle

Et le double retournement de situation à venir

 

 

 

La vidéo d'Alex JONES devrait secouer les indolents pour les inciter à disposer de toutes les cartes routières afin de savoir où tout cela mène, à quoi l'on sera tous confronté.

 

S'il est encore temps de se rendre compte que l'on assiste à la phase finale de l'implosion de toutes les composantes de l'économie réelle, conformément au plan visant à laisser populations et États se débattre dans des conditions économiques et sociales extrêmes, il est primordial de savoir pourquoi nous en sommes là. Connaitre précisément la teneur du projet global en cours d'activation. Savoir en quoi consistera le double retournement de situation à venir. Voir Le cartel vise aussi à solutionner les conséquences économiques de l'actuelle crise majeure, novembre - décembre 2013.

 

Dans ce contexte, une différenciation est à faire entre le petit groupe de gens avertis de l'évolution de la scène mondiale et la grande majorité des autres gens qui dans la phase finale de ce retournement ne sauront quoi penser, quoi faire, où trouver une porte de sortie !




 

Auteur de ce site C. ROUAS

 

Spécialités :

 

Recherche & développement, nouveau procédé de fabrication de concentrés alimentaires - agrément européen 1983, voir ici.

 

R&D insertion - formation professionnelle des jeunes - mécanismes organisationnels nationaux, dont le CESU - chèque emploi service universel - à l'issue de missions expérimentales pour le ministère du Travail 1991 - 1993

 

 

R&D en physiologie cellulaire, en nutrition, en médecine appliquée aux maladies neurodégénératives, autisme - scléroses en plaques - fibromyalgie, 3 millions de femmes en France - 2004 - 2014 , membre de Klinghardt Académy USABénévolatvoir

 

 

 

Ce site n'est pas suffisamment connu du grand public pour devenir dérangeant. Si vous mesurez l'immense travail d'investigation, d'information utile à tout un chacun, développé ici, alors vous le proposerez à vos connaissances. Voir ci-dessous les liens de réseaux sociaux et en bas de page, recommander ce site - www.crisemajeure.jimdo.com

 

 Médecine - Bénévolat

 

Si par ailleurs vous voulez découvrir la désinformation entretenue en France sur les maladies neurodégénératives Alzheimer - Autisme - Fibromyalgie - Parkinson - Scléroses en plaques... Voir le site protocole.jimdo.com  qui en définit les causes et offre le protocole de soins issu de la recherche médicale de pointe, non reconnue en France. 

 

NB : La Fibromyalgie touche à minima 2,5 millions - 10 femmes pour 1 homme - en France. Une pathologie qui n'est pas encore reconnue dans ce pays - voir cette vidéo. Elle se caractérise principalement par des douleurs quotidiennes très pénibles au niveau des muscles, tendons et provoque des maux de tête, des phases de dépression endogène... Une maladie que l'on peut soigner, pour savoir comment, aller directement sur le site protocole.jimdo.com

 

 

 

 

Livre numérique, pdf, 55 pages - 15 vidéos - Livre offert à tous - voir le site www.protocoles.jimdo.com  sur lequel le contenu de ce livre est repris et régulièrement actualisé.